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Mois : avril 2019

Commanders Act reçoit la certification Européenne ePrivacy EU pour la protection des données

Paris le 25 Avril 2017 — Commanders Act, fournisseur Européen de solutions tag, de données et de customer journey pour les entreprises a reçu la certification Européenne ePrivacy pour la protection des données. Cela confirme que la technologie utilisée par Commanders Act se conforme déjà avec la réglementation Européenne de protection générale des données. Cette réglementation entrera en vigueur le 25 Mai 2018 pour tous les pays Européens. Commanders Act est l’une des premières solutions dans le secteur de la gestion de données multi canal à prouver qu’elle respecte ce nouveau standard.

Toute la plateforme de solutions Commanders Act a été certifiée. Cela comprend :

“Commanders Act prend les questions de protection des données et de sécurité des données très au sérieux. Cette certification est d’une grande importance pour nous et couronne la mise au point de procédés exemplaires. Nous proposons un large éventail de possibilités pour protéger les données des utilisateurs, bien au-delà des standards. Et nos clients perçoivent déjà la nécessité de suivre et cibler leurs utilisateurs numériques conformément à la réglementation la plus exigeante sur la protection générale de données” explique Michael Froment Chairman Commanders Act.

Cette certification permet à Commanders Act de montrer aux responsables du marketing dans les entreprises, les agences ou les medias que la gestion des données est primordiale et qu’elle est gérée de manière très professionnelle. Grace aux solutions de Commanders Act, ils peuvent créer des campagnes, des solutions et des interfaces parfaitement en adéquation avec leurs besoins de tous les jours – indépendamment de leur département IT. La qualité et la sécurité des implémentations techniques sont ainsi bien respectées.

ePrivacy, la certification Européenne de protection des données est offerte par le spécialiste indépendant de la protection des données en Europe, ePrivacy GmbH. Cette certification est basée sur une liste stricte de critères techniques et légaux et qui comprend déjà la régulation Européenne dans le processus de certification.

Les critères ainsi que la liste des évaluations techniques et légales sont publiées sur le site web de eprivacy GmbH.

Vérifiez quelles solutions de gestion de données certifiées et conformes aux régulations Européennes sur la protection des données ici.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations.
Contacts : Marion Poitrinal _ Hashtag RP
M : [email protected] / T :06 25 59 63 12

A propos d’ePrivacy GmbH

ePrivacy GmbH est une entreprise de consulting spécialisée dans la protection de la vie privée et des données personnelles créée en 2011. Elle conseille des entreprises internationales du domaine digital dans tous les défis de la protection des données et de la cybersécurité. Le prestataire de services indépendant commercialise avec l’ePrivacyseal un label européen validant le respect des normes européennes en vigueur ou prochainement applicables comme le Règlement général sur la protection des données de l’UE. L’entreprise ePrivacy est d’origine allemande mais a une vocation européenne avec plus de 150 clients internationaux.

Pourquoi le modèle du « last click » perdure ?

Alors que le parcours client devient de plus en plus complexe à lire, omnicanal oblige, la mesure de l’attribution, elle, reste encore largement centrée sur le « last click ». Et pour des raisons qui ne sont pas seulement technologiques…

Paradoxe : alors que l’univers de la publicité digitale semble friand d’innovations technologiques, à l’instar de celles qui donnent corps au programmatique ou encore au DCO (Dynamic Creative Optimization), un enjeu semble pourtant délaissé, celui de l’attribution. Un paradoxe puisqu’il s’agit ni plus ni moins que d’identifier les leviers les plus efficaces pour investir les 4,094 milliards que représente par exemple en France en 2017 le marché de la publicité digitale.

Mes publicités sont-elles vraiment vues ? Quels sont les canaux (search, display, affiliation…) les plus efficaces ? Mes partenaires sont-ils rémunérés à la juste valeur de leur contribution ? Comment arbitrer mon mix marketing pour optimiser mon budget publicitaire ? C’est à ces questions que la mesure de l’attribution est supposée répondre. Par défaut, c’est la règle – ou plutôt la vieille habitude – dite du « last click » qui domine, laquelle consiste à attribuer au dernier point de contact le mérite d’une conversion. Problème : avec le développement de l’omnicanal, cette attribution au « last click » devient de plus en plus biaisée. C’est tout particulièrement le cas pour les annonceurs qui investissement massivement sur le mobile…

Quand l’omnicanal complique la donne

En effet, si différentes mesures omnicanales montrent que le mobile est très contributeur à la conversion, la tendance naturelle est de regarder le dernier clic, et là, c’est très défavorable au mobile. Une problématique pour les annonceurs dont les investissements publicitaires sur le mobile représentent une part de plus en plus importante du budget total…

Toutes les marques aux prises avec un parcours omnicanal de leurs audiences sont confrontées aux limites de leurs modèles d’attribution. La faute à la technologie ? En partie sans aucun doute car la donne est complexe : pas simple par exemple de réconcilier des parcours composés de sessions web, sur desktop et mobile, et de connexions aux apps mobiles. Et sur ce sujet comme pour d’autres, les adblockers et l’Intelligent Tracking Prevention d’Apple compliquent encore la donne. Comment évaluer dans ce contexte le poids des canaux qui jouent le rôle « d’initiateur », « d’influenceur » ou de « buteur » ? Des modèles algorithmiques (comme les chaines de Markov) apportent des réponses mais ne changent pas radicalement la donne. L’outil nourrit la décision mais ne peut à lui seul décider…

Un silotage organisationnel qui nuit au pilotage global de la performance

Comment prendre les bonnes décisions pour, par exemple, rationaliser les budgets et générer autant de conversions avec moins de points de contact ? En essayant de répondre à ces questions, les marques comprennent que le principal obstacle à une attribution plus cohérente avec le réel n’est pas seulement de nature technologique mais aussi organisationnel. Pour une raison simple : les équipes sont organisées – et incentivées – par canal (SEO, SEM, Social, Display…) ce qui complique sérieusement le pilotage global de la performance.

Les conséquences de ce silotage organisationnel sont connues : les effets de résonance sont ignorés (le fait que de multiples vues sur un canal prépare la conversion sur un autre canal) tandis que les conversions sont démultipliées, plusieurs canaux s’attribuant une même conversion. Un sujet traité via la déduplication qui consiste surtout dans la pratique à commissionner les partenaires à la performance pour éviter de se voir facturer deux ou plusieurs fois les mêmes conversions. En clair, les contrats sont revus mais le cœur du sujet, la mesure de l’attribution, demeure déconnecté du réel.

Comment renouer, justement, avec le réel pour, pas à pas, se donner les moyens de faire évoluer son modèle d’attribution ? L’histoire commence ici avec un bon partage de l’information : donner à tous, quel que soit son « canal d’attache », une vue globale de la performance, cross-canal (étendue au monde physique, des magasins par exemple) et cross-devices, partager des objectifs de trafic et de conversion, recevoir les mêmes alertes pour croiser les regards et identifier les causes plus finement… C’est sur ce socle commun que les modèles peuvent être testés et ajustés pour réconcilier la mesure de l’attribution avec le réel. Et mettre de côté, enfin, la vieille pratique du « Last click ».

Attribution : pourquoi le modèle du « last click » perdure

Alors que le parcours client devient de plus en plus complexe à lire, omnicanal oblige, la mesure de l’attribution, elle, reste encore largement centrée sur le « last click ». Et pour des raisons qui ne sont pas seulement technologiques…

Paradoxe : alors que l’univers de la publicité digitale semble friand d’innovations technologiques, à l’instar de celles qui donnent corps au programmatique ou encore au DCO (Dynamic Creative Optimization), un enjeu semble pourtant délaissé, celui de l’attribution. Un paradoxe puisqu’il s’agit ni plus ni moins que d’identifier les leviers les plus efficaces pour investir les 4,094 milliards que représente par exemple en France en 2017 le marché de la publicité digitale.

Mes publicités sont-elles vraiment vues ? Quels sont les canaux (search, display, affiliation…) les plus efficaces ? Mes partenaires sont-ils rémunérés à la juste valeur de leur contribution ? Comment arbitrer mon mix marketing pour optimiser mon budget publicitaire ? C’est à ces questions que la mesure de l’attribution est supposée répondre. Par défaut, c’est la règle – ou plutôt la vieille habitude – dite du « last click » qui domine, laquelle consiste à attribuer au dernier point de contact le mérite d’une conversion. Problème : avec le développement de l’omnicanal, cette attribution au « last click » devient de plus en plus biaisée. C’est tout particulièrement le cas pour les annonceurs qui investissement massivement sur le mobile…

Quand l’omnicanal complique la donne

«  L’attribution a été un très gros enjeu en 2017. Le sujet reste en 2019 un caillou dans la chaussure, confie à Petit Web Anne Browaeys, Directrice Générale Marketing, Digital & Technologies du Club Med. Nous avons des modèles d’attribution (…)  Différentes mesures omnicanales nous montrent que le mobile est très contributeur à la conversion. Néanmoins, quand on pilote des campagnes au jour le jour et qu’on utilise des outils d’optimisation de bidding en achat de mots clés, la tendance naturelle est de regarder le dernier clic, et là, c’est très défavorable au mobile. » Problématique pour un annonceur dont les investissements publicitaires sur le mobile sont passés de 16 à 64% de son budget total…

Sans surprise, le Club Med est loin d’être un cas isolé. Toutes les marques aux prises avec un parcours omnicanal de leurs audiences sont confrontées aux limites de leurs modèles d’attribution. La faute à la technologie ? En partie sans aucun doute car la donne est complexe : pas simple par exemple de réconcilier des parcours composés de sessions web, sur desktop et mobile, et de connexions aux apps mobiles. Et sur ce sujet comme pour d’autres, les adblockers et l’Intelligent Tracking Prevention d’Apple compliquent encore la donne. Comment évaluer dans ce contexte le poids des canaux qui jouent le rôle « d’initiateur », « d’influenceur » ou de « buteur » ? Des modèles algorithmiques (comme les chaines de Markov) apportent des réponses mais ne changent pas radicalement la donne. L’outil nourrit la décision mais ne peut à lui seul décider…

Un silotage organisationnel qui nuit au pilotage global de la performance

Comment prendre les bonnes décisions pour, par exemple, rationaliser les budgets et générer autant de conversions avec moins de points de contact ? En essayant de répondre à ces questions, les marques comprennent que le principal obstacle à une attribution plus cohérente avec le réel n’est pas seulement de nature technologique mais aussi organisationnel. Pour une raison simple : les équipes sont organisées – et incentivées – par canal (SEO, SEM, Social, Display…) ce qui complique sérieusement le pilotage global de la performance.

Les conséquences de ce silotage organisationnel sont connues : les effets de résonnance sont ignorés (le fait que de multiples vues sur un canal prépare la conversion sur un autre canal) tandis que les conversions sont démultipliées, plusieurs canaux s’attribuant une même conversion. Un sujet traité via la déduplication qui consiste surtout dans la pratique à commissionner les partenaires à la performance pour éviter de se voir facturer deux ou plusieurs fois les mêmes conversions. En clair, les contrats sont revus mais le cœur du sujet, la mesure de l’attribution, demeure déconnecté du réel.

Comment renouer, justement, avec le réel pour, pas à pas, se donner les moyens de faire évoluer son modèle d’attribution ? L’histoire commence ici avec un bon partage de l’information : donner à tous, quel que soit son « canal d’attache », une vue globale de la performance, cross-canal (étendue au monde physique, des magasins par exemple) et cross-devices, partager des objectifs de trafic et de conversion, recevoir les mêmes alertes pour croiser les regards et identifier les causes plus finement… C’est sur ce socle commun que les modèles peuvent être testés et ajustés pour réconcilier la mesure de l’attribution avec le réel. Et mettre de côté, enfin, la vieille pratique du « Last click ».

Grâce à Commanders Act, Sorgenia profite des opportunités numériques pour personnaliser son offre et améliorer son service client

Le fournisseur d’énergie italien a vu son nombre  de conversion augmenter de 15% grâce à une utilisation efficace des données.

Le leader italien de l’énergie numérique

En faisant de l’innovation son principe directeur, Sorgenia est devenue la première entreprise sur le marché de l’énergie numérique en Italie. L’entreprise, qui fournit du gaz et de l’électricité aux particuliers, aux entrepreneurs et aux petites entreprises, a pour objectif d’offrir à ses clients un service convivial et durable.

Le digital pour répondre aux défis

« Le marché évolue rapidement, et il sera amené à changer encore plus lorsqu’il sera entièrement libéralisé. Afin de réagir rapidement à ces changements, nous avons décidé de nous concentrer sur le numérique pour communiquer avec nos clients et leur proposer des solutions qui répondent au mieux à leurs besoins », explique Paolo Rohr, Directeur Digital de Sorgenia.

L’entreprise a identifié trois défis principaux :

  • Tirer le meilleur parti des opportunités offertes par le numérique pour opérer la transition vers un marché libre de l’énergie ;
  • Conquérir de nouveaux clients ;
  • Mettre en place un service d’assistance complet à même de couvrir l’ensemble du parcours client.

L’innovation et l’expérimentation sont les deux principes directeurs de Sorgenia, qui se reflètent clairement dans ses choix stratégiques en matière de technologie. Pour le Tag Management, Sorgenia a ainsi choisi de s’associer à Commanders Act.

Une plateforme qui s’adapte aux besoins de l’entreprise

Après avoir exploré les propositions de différents fournisseurs de technologies, Sorgenia a choisi Commanders Act pour la flexibilité de son offre, qui inclut une gamme complète de solutions parfaitement adaptées aux besoins de l’entreprise. Deux autres facteurs ont pesé en faveur de cette décision : l’assistance technique complète disponible et le gain de temps offert par l’utilisation d’une plateforme unique. Une plateforme unique qui permet :

D’une part, de réaliser des modèles d’attribution avec analyse du parcours client pour chaque utilisateur, afin que l’entreprise puisse comprendre si les clients ont besoin d’entrer en contact avec le service d’assistance tout en optimisant l’ensemble des processus.

D’autre part, de fournir une expérience de navigation personnalisée, afin de présenter le site en fonction du type de visiteur, client ou prospect et ainsi  optimiser le budget consacré au reciblage. Et également de pouvoir effectuer la conversion des clients par l’intermédiaire du centre d’appels. Grâce à la solution fournie par Commanders Act, les opérateurs de Sorgenia qui contactent un utilisateur suite à une demande d’assistance, sont en mesure de consulter une fiche d’information complète contenant tous les détails du profil du client. Cela se traduit par une efficacité accrue de l’équipe d’assistance et des techniciens de l’entreprise.

Personnaliser pour gagner en pertinence et en trafic (+10 % pages vues)

Le contenu du site Internet de Sorgenia est personnalisé en fonction du profil de l’utilisateur. Si l’utilisateur est un client, le site propose l’achat d’un produit manquant ou le programme Member Get Member pour promouvoir de nouveaux contrats d’approvisionnement. D’autre part, si l’utilisateur est un prospect, le site Internet s’efforce de faciliter le retour du client potentiel sur le site.

Un autre aspect important de la relation client concerne les promotions quotidiennes que l’entreprise propose par le biais de ses accords avec ses partenaires numériques. L’objectif de ces initiatives est de créer un profil client plus détaillé et de différencier les communications.

Cinq mois après le début de cette collaboration, l’entreprise est aujourd’hui quasiment autonome dans l’utilisation de la plateforme Commanders Act, et n’a besoin de soutien technique que pour des questions complexes. « Nous avons choisi Commanders Act pour la flexibilité de son offre et la disponibilité des équipes. L’aspect tout particulièrement enrichissant de cette collaboration est la relation constructive que nous entretenons avec Commanders Act – ils sont toujours proactifs et prêts à nous donner des idées et des conseils pour continuer à améliorer nos services. » confirme Mr Rohr.

20 À 30 % de hausse de trafic dans l’entonnoir de conversion

Sorgenia est parvenue à augmenter à la fois le volume total des achats et ses taux de conversions. Le taux de conversion a augmenté d’un pour cent, portant ainsi à une hausse du nombre de conversions de 15 %. En y ajoutant la personnalisation du service, cela a abouti à une augmentation du trafic de 25 % dans le funnel d’acquisition. Si l’on examine d’autres paramètres, l’entreprise a enregistré une réduction d’un pour cent de son taux de rebond et une augmentation de 10 % des pages visitées ; les sessions de navigation sont plus importantes, et leur durée a augmenté de 15 %. En 2019, Sorgenia poursuivra la personnalisation de son offre numérique, pour ses clients comme pour ses prospects : « Nous prévoyons d’intégrer les données dont nous disposons à d’autres plateformes d’achat et à l’activité CRM. Ce sont des projets sur lesquels nous travaillons d’arrache-pied, en sachant que nous pouvons compter sur notre partenariat avec Commanders Act », conclut Paolo Rohr.

Commanders Act dans le top 3 mondial des solutions de « enterprise tag management »

Dans la dernière étude Gartner, Commanders Act est le seul éditeur européen et français à figurer en tête de classement sur ce marché pour sa solution TagCommander.

Paris, le 2 avril 2019 – Commanders Act, éditeur de logiciels SaaS spécialiste du Tag & Data Management, annonce aujourd’hui que sa solution TagCommander a été reconnue cette année par Gartner comme l’une des mieux positionnées sur le marché du tag management. Dans le rapport « Improve Efficiency and Digital Marketing Data Governance with Tag Management », TagCommander figure ainsi dans le top 3 des solutions « Entreprises », qui se distinguent par l’indépendance de leur positionnement et leur capacité à fonctionner de manière agnostique, avec n’importe quelle solution Martech ou Adtech du marché.

Le tag management reconnu comme une composante fondamentale du marketing digital

 Les systèmes de gestion de tag (TMS – Tag Management Systems) ont véritablement émergé à la fin des années 2000, en réponse aux défis posés par la croissance exponentielle du marketing digital. Destiné à permettre aux entreprises de maîtriser les données de leurs clients pour leur proposer des offres et des services à plus forte valeur ajoutée, le tag management s’est progressivement imposé comme une composante majeure du marketing digital.

Dans son rapport « Improve Efficiency and Digital Marketing Data Governance with Tag Management », Gartner souligne l’importance de la gestion des tags dans la collecte, la gestion et la modélisation des données clients. Un positionnement depuis longtemps défendu par Commanders Act.

« Le tag management a été l’une des mutations clefs du marché du digital durant les dix dernières années, souligne Michael Froment, PDG et co-fondateur de Commanders Act. Aujourd’hui, les organisations et leurs équipes digitales travaillent différemment. Elles ont su adopter des solutions qui garantissent une gouvernance efficiente des tags mais aussi de la donnée, ce qui dans le contexte légal du RGPD est devenu encore plus essentiel. »

« Je suis fier du travail de nos équipes, qui ont su patiemment construire la réputation dont nous bénéficions aujourd’hui. Commanders Act est aujourd’hui la seule solution européenne, membre de la FrenchTech, à être dans le pool de tête de ce marché » ajoute Michael Froment.

Commanders Act confirme sa position de leader européen du data management

 Commanders Act continue de proposer à ses clients une expertise unique en matière de gouvernance de la donnée digitale, via une suite de solutions nativement intégrées qui permet de faire de la donnée digitale une discipline raisonnée, mature et transparente.

Cette approche globale et customer centric en faveur d’une utilisation plus intelligente et plus efficace des données, a permis à Commanders Act de développer un portefeuille de plus de 450 clients,  en Europe et dans le Monde, dont certains parmi les leaders mondiaux du marché du voyage en ligne.

Une croissance aujourd’hui soutenue par une stratégie fortement axée sur l’innovation, notamment en matière de marketing prédictif et de machine learning appliqués aux données clients.

Consentements sur mobile et apps : 4 challenges

Si tous les éditeurs de sites et d’apps rêvent d’une gestion des consentements cross-device, la pratique complique sérieusement la donne… Explications.

L’expression « mobile first » a beau être devenue très tendance, dans la pratique, le mobile et les apps passent encore trop souvent après le web. Y compris pour la gestion des consentements dans le sillage du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données). Sur ce sujet, le site web cristallise l’attention et les énergies alors que l’enjeu de la conformité au RGPD est bien entendu tout aussi sensible avec les apps mobiles. Tout aussi sensible, mais encore plus technique du fait de la nature même du mobile. Retour sur 4 challenges clés.

1) Gérer la connexion intermittente

C’est la principale difficulté sur mobile : penser la collecte des consentements sans supposer qu’une connexion sera toujours active pour nourrir un dialogue client-serveur. Seule solution si une app est exploitée hors connexion : tirer parti de l’un des grands avantages d’une app mobile, à savoir sa capacité à stocker de l’information localement.

Concrètement, si le smartphone est offline, toutes les actions enregistrées sur l’app sont stockées. Une fois la connexion rétablie, selon le statut identifié du consentement (acceptation totale, partielle ou rejet), les données sont envoyées à la CMP (Consent Management Platform), en partie ou dans leur totalité, ou bien effacées en cas de refus de la collecte. Dans tous les cas, l’app mobile doit intégrer ce mécanisme de « bufferisation » des données personnelles en mode offline.

2) Penser la demande de consentement pour l’UX du device

La bonne gestion des consentements sur mobile et sur les apps ne se résume pas à un enjeu technique. Il s’agit aussi de la penser pour ne pas compromettre l’expérience utilisateur. Hors de question de se contenter d’afficher les pop-in exploitées sur desktop, même en ayant pris soin de leur caractère responsive. Du mobile au desktop, la tolérance à l’obstruction de l’écran (le fait que la pop-in masque plus ou moins le contenu) et les modalités de validation du consentement diffèrent suffisamment pour justifier une UX spécifique. Le design des boutons de validation et refus mérite à lui seul une approche différenciée entre mobile et desktop.

Dans le cadre d’une app, c’est souvent un écran dédié à cette collecte qui s’impose. Avec une question clé : à quel moment afficher cet écran ? La réponse appartient à chaque éditeur, car elle dépend intimement de la nature de l’app. À quel public s’adresse-t-elle ? Nécessite-t-elle des instructions pour être prise en main ? Par exemple, il ne semble pas forcément opportun d’afficher cet écran avant même d’avoir délivré les informations pratiques essentielles pour bien utiliser l’app. Une phase d’A/B Testing pourra être mise à profit afin d’identifier un cheminement qui soigne la rétention.

3) Collecter un consentement spécifique

Évidemment, chaque éditeur de site ou d’app rêve de pouvoir déployer une mécanique de consentement cross-device. Avec un objectif évident : propager le statut d’un consentement collecté dans un navigateur desktop jusqu’à une app mobile pour éviter de questionner à maintes reprises l’utilisateur. Une louable intention qui pour l’heure demeure hors de portée technique. Même au sein d’un device, les « ruptures » de consentement sont inévitables : un utilisateur qui a donné son accord dans un navigateur pour un site web d’un éditeur se verra contraint de le redonner s’il utilise ensuite une app de ce même éditeur sur son smartphone.

Question légitime : et si l’utilisateur se logue de part et d’autre (sur le site et sur l’app) ? Oui, dans ce cas de figure, le consentement étant associé à un profil logué, il peut être « récupéré » d’un site à une app et vice versa. Mais à une condition qui n’a, cette fois, plus rien de technique : le consentement donné sur un site peut être valide pour une app seulement si les mêmes services sont activés sur l’un et l’autre…

Rappelons que, selon le RGPD, un consentement pour être licite et loyal doit être spécifique. Dans la pratique, d’une app à un site, les services mis en œuvre – donc les données envoyées aux partenaires – diffèrent. Les adservers par exemple sont rarement identiques entre mobile et desktop. De même pour les solutions d’A/B Testing.

En résumé, pour des raisons techniques, mais aussi juridiques, la collecte du consentement doit être gérée pour l’heure de manière spécifique selon les devices (desktop, mobile) et contextes (site, app).

4) Historiser les consentements

Autre principe clé du RGPD à garder à l’esprit : « l’accountability ». En clair, chaque éditeur de site ou app doit être en mesure non seulement de collecter les consentements de manière conforme au RGPD, mais aussi de prouver qu’il opère ainsi. D’où l’importance d’historiser pour l’ensemble des devices et contextes les statuts des consentements et les activations qui ont suivi. C’est d’ailleurs l’une des caractéristiques clés de la CMP de Commanders Act : assurer cette historisation des consentements collectés sur l’ensemble des devices.

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